Tout le monde n’a pas la franchise de vous dire ce que vous allez lire dans cet article. C’est comme ça, c’est la vie !

Et oui, il existe des cas où il est préférable de ne plus jouer. Soit pour toujours, soit pour une durée déterminée. Nous allons voir cela en détails.

Pour nous les turfistes vraiment assidus, il est très difficile de ne pas jouer au turf. Pourtant il existe des cas plus ou moins dramatiques où il faut savoir dire « Stop, j’arrête de jouer« 

1 – Si vous n’avez pas assez d’argent pour finir le mois

Et oui, priorité à votre famille et à vos besoins essentiels. Le jeu au turf ou ailleurs ne fait pas partie de vos besoins vitaux.

Vouloir gagner pour finir le mois financièrement et un vrai moyen de vous enfoncer encore un peu plus.

2 – Si vous avez trop perdu

Cela rejoint un peu le cas n°1. Vouloir se refaire si l’on a trop perdu, c’est l’assurance de perdre encore plus.

Dans ce cas, on a beaucoup plus tendance à jouer n’importe comment. On est plus soi-même et l’on peut faire des grosses bêtises.

Vous pouvez vous faire interdire de jeux en cliquant sur ce lien : Interdiction de jeu – Service Public

3 – Si vous traversez une grosse période d’écart

Je le dit souvent, l’ennemi numéro 1 du turfiste, c’est l’écart. Et un gros écart peut lui aussi vous faire perdre des sommes trop importantes et vous mettre en danger vous et votre famille.

Donc autant arrêter et réfléchir à une méthode hippique qui ne comporte pas de gros écarts.

4 – Si vous n’avez pas un capital assez gros pour démarrer votre méthode

C’est aussi une erreur classique. On démarre malgré tout une méthode alors que l’on ne possède pas le capital nécessaire. On espère gagner dès les premiers coups, et malheureusement le capital est bouffé avant d’avoir obtenu les premiers gains.

Alors vous pestez contre le monde entier, alors que c’est entièrement de votre faute.

5 – Si vous jouez avec la méthode « d’attaque à l’écart »

Ce 5ème cas est moins tragique que les 4 précédents. C’est même une méthode couramment employée pour limiter les pertes en cas d’ écart important.

En effet, cette astuce consiste à attendre un écart fixé à l’avance, avant de commencer à jouer. Mais cela ne supprime pas les problèmes liés aux gros écarts. Ca les limite simplement.

Désolé pour cet article un brin moralisateur, mais aux courses hippiques comme dans tous les jeux d’argent, il vaut mieux être prudent.

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Christian FALQUE