Rassurez-vous, je n’ai pas pour ambition de vous apprendre à danser. Il faudrait déjà que j’apprenne moi-même. 🙂

Je voudrais vous parler aujourd’hui d’une des choses principales qui nous empêche, nous turfistes, d’être bénéficiaires au turf.

Il existe bien sûr d’autres raisons, mais la majorité d’entre nous sommes perdants sur le long terme à cause de cette « valse des méthodes« .

Comme je vous le disais, il y a bien d’autres causes qui font que nous sommes toujours perdants. Nous en avons vu quelques-unes ici. Le PMU et les autres opérateurs, font tout pour que nous soyons perdants au final :

• Multiplication des courses et des réunions.
• Courses à l’étranger.
• Incitations à jouer. (Bonus, promos, paris gratuits.)

Mais qu’est-ce que je veux dire par « Valse des méthodes » ?

La valse des méthodes

Je sais de quoi je parle. Je l’ai fait moi-même de nombreuses fois !

On achète une méthode, ou on l’invente soi-même et ensuite plusieurs cas de figures peuvent se présenter :

• On passe à autre chose sans même l’avoir testé ou joué en réel.
• On l’oublie carrément dans sa bibliothèque ou dans son ordinateur.
• On teste en réel ou à blanc un moment, et si l’on perd 3 fois de suite on passe à autre chose. Alors que si la méthode est bonne, il faudrait persévérer. Les meilleures méthodes subissent elles aussi des périodes d’écarts.

Comment stopper ça ?

Il faut tout simplement acquérir ou développer ces 3 qualités :

• Discipline.
• Persévérance.
• Rigueur.

Je sais, ça peut paraitre sévère tout ça ! Mais ce n’est qu’à ces conditions que l’on devient bénéficiaire aux courses hippiques.

Conclusion :

Trouvez une bonne méthode hippique qui tient la route. Qui ne se base pas que sur :

• Les écarts numéros, entraineurs, drivers ou jockeys.
• Les pronostics de tel ou tel journaliste.
• La forme des entraineurs, jockeys ou drivers.

Cette bonne méthode doit se baser sur des faits hippiques précis tels que :

• Les dernières courses.
• Les dernières cotes.
• Les dernières allocations.
• L’aptitude à la piste.
• L’aptitude à la distance de la course du jour.
• L’aptitude à l’état du terrain.

Ou bien sur des statistiques :

• Pourcentage d’adversaires battus. (Voir le journal Week-End, par exemple.)
• Statistiques sur les numéros.

Ou bien des rubriques hippiques :

• Sur Internet.
• Dans les différents journaux hippiques. (Paris-Turf, Week-End.)

Pour finir, oui, ne changez pas de méthode tous les 3 jours, sinon vous n’arriverez jamais à rien de bien.

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Christian FALQUE